• Musettes Blues.

    SAMEDI 30 NOVEMBRE 2018 - THÉÂTRE A LA SALLE DES FÊTES DE PLEUBIANQuand un bal-musette sombre dans le blues ?

    Proposé et organisé par « Le Papillon de la Presqu’île »

    La troupe des « Comédiens du Belvédère » du village de Chamarande dans l’Essonne, va de nouveau nous rendre visite, comme l’année dernière (avril 2017),

    Rappelez-vous, pour ceux qui ont eu le plaisir d’y assister, de leur représentation intitulée « Popote show », un cabaret-théâtre burlesque autour du thème de l’art culinaire, des aliments et des boissons, des chefs et des recettes. Souvenez-vous de ce moment de plaisir partagé.

    Depuis les « Comédiens du Belvédère » ont monté une nouvelle pièce de théâtre et sont impatients de vous la présenter.

     

    Qu’elle est-elle ? Elle est intitulée « Musette Blues ».

    Pour ceux qui ont « jadis » vécu les années 60, qu’ils aient été jeunes ou moins jeunes, ils auront la joie de revoir des tableaux vivants, de revivre des émotions, de réentendre des langages, bref de replonger dans leurs souvenirs d’une époque charnière.

    Et pour ceux qui ne connaissent pas les « sixties », car nés après, ils seront emplis de curiosité, au devant d’une intrigue qui ne pourrait plus être ainsi de nos jours, quoique…

    Figurez-vous une pension de famille, à l’ancienne, en bord de Seine, en région parisienne, logeant de curieux personnages, tous atypiques, que leurs trajets d’une vie peu banale ont réuni, pour le meilleur et pour le pire. On dit que la musique adoucit les mœurs ? Es-ce vraiment le cas quand un bal-musette sombre dans le blues ?

    Et bien, venez le découvrir…

     

    Salle des Fêtes de Pleubian

    Le 3 Novembre 2018 à 21 heures

    Prix des places 10 euros,

    Billetterie : Librairie Bouquine à Pleubian  - Renseignements : 02 96 22 87 68

     


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  • Le "Papillon de La Presqu'île" organisait ce week end sa cinquième édition de "L'automne au jardin" , à la salle Ty Han Holl.  
    L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...

    Malgré le temps maussade, pluvieux, le public s'est déplacé mais a du se cantonner à la salle. La météo n'a pas permis aux professionnels des plantes de déballer leurs marchandises. Le président du "Papillon de la Presqu'île", Roland Cuvier a déploré l'impact de la météo mais "c'est un bon cru compte tenu des conditions, le temps n'était pas avec nous, nous avons eu les familles avec les enfants, mais nous avons dû annuler les balades à poney. Par ailleurs nous avons assumer nous-mêmes le repas servi à midi, le restaurant épicerie était fermé, c'est dommage car ce type d'événement se déroule tout près du seul commerce du village".

    L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...Dans la salle quinze exposants avaient installé leur stand, et des artisans ont présenté des produits de qualité, cet aspect important de la manifestation était coordonné par Odile Jacquot. La librairie Bouquine était comme à l'habitude au rendez vous, avec des livres variés sur le thème des jardins et des plantes.

    L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...

     L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...L'association "J'accueille la nature" de Paimpol, L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...avec ses bénévoles a répondu aux nombreuses questions sur la façon d'apporter un peu de douceur à dame nature si mal menée.

    La bourse aux plantes est toujours bien suivie par les visiteurs.
     
    Au fond de la salle, sur la scène, le public a pu découvrir un mur de dessins chaleureux aux couleurs automnales, réalisés par les enfants des deux écoles du RPI, avec la complicité des enseignants.

    L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...Non loin des dessins des enfants, deux enseignantes soutiennent des élèves pour la vente d'objets dont le produit est destiné à financer à un séjour à Douai, à l'école des enfants des mariniers, pour la classe de CM. A propos de nature, Gaëlle Buzulier, enseignante, à Pleumeur, a pris la mesure des choses : "Les enfants perdent ce contact avec la nature, d'où l'importance des sorties nature, nous allons travailler sur les cinq sens".

     

    Près des enfants, un parent d'élève vend des pâtisseries faites par les familles : gâteaux aux pommes, au chocolat, madeleines, crêpes…L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...

    L'ambiance conviviale, avec la présence des plantes au chaud, fait oublier le temps et l'automne qui signale puissamment son arrivée.

    L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...Le matin, des musiciens ("la bande à Joseph") ont égayé la salle et l'après midi, le groupe des sonneurs de Lézardrieux ont assuré une belle prestation bien accueillie par le public.L'automne au jardin, une réussite, malgré un temps très très pluvieux...

    Les fans de jardin ont pu découvrir le premier bulletin intitulé "Binette et papillon" conçu et édité par le groupe nature du Papillon de la Presqu'île.

     

     

    Résultat du tirage de la loterie : Mr Hugues DEGOUVE de Pleudaniel gagne l'huile sur toile offerte par Jean Marie Jacquot.

    La citrouille elle pesait 8,380 kg. Trois personnes ayant proposé un poids à 120 grammes près, il a été procédé à un tirage au sort par la main innocente d'un enfant, c'est Mr Fanch Guillou de Lanmodez qui l'a emportée.

     

     

     

     

     

     


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  •  Partenaires dans la vraie vie ainsi que dans la musique depuis plus que 20 ans, le Québécois Claude Méthé (violon, voix) et Dana Whittle, transplantée de Nouvelle-Concert au Talbert à L'Armor Pleubian - Vendredi 19 octobre à 21 h 00Angleterre (voix, guitare, podorythmie) ont vécu, respiré, présenté, composé, enseigné et partagé leur musique à travers le Canada, les États-Unis et à l’étranger. Ils sont tous les deux des chanteurs dynamiques et compositeurs prolifiques, membres en règle de la grande famille de la musique traditionnelle québécoise vivante. Le style vocal évocateur et coup d’archet purement québécois de Claude complimente sans heurt la sensibilité rythmique, la guitare savoureuse et la voix scintillante de Dana. Ensemble, ils livrent un répertoire de bijoux traditionnels et de compositions enracinées, en dégageant une magie unique aux musiciens qui ont tant tournés en famille, le bébé sur scène dans une boîte de guitare. Ils sont reconnus pour leur abilité artistique et leur engagement à transmettre ce patrimoine musical. Préparez-vous aux plaisirs des airs endiablés, des complaintes, des chansons à répondre, du rythme des pieds et des histoires de leur vie quotidienne dans le «nombril» de l’univers trad québécois! Disponible pour concerts, ateliers et danses (avec calleur).

    ZIGUE en concert au Talbert à L'Armor Pleubian, le vendredi 19 octobre à 21 h 00


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     14 OCTOBRE 2018 - L'AUTOMNE AU JARDIN - LANMODEZ

    5ème Edition - LANMODEZ

    LE 14 OCTOBRE 2018

    De 10 h. à 18 H. 

    Sur la place et dans la salle Ty an holl

    Organisé par “le Papillon de la Presqu’île”          

    Les quatre éditions précédentes de “l’Automne au Jardin” à Lanmodez, ayant été couronnées d’un évident succès, grâce aux bénévoles et la participation des jardiniers amateurs, il est apparu évident de reconduire encore cette année cette manifestation dans sa spécificité.

    La bourse de plantes, sera comme à l'habitude un lieu d’échanges de plantations, de bouturages et d’expériences, tissant ainsi des liens entre les jardiniers pour le plus grand bonheur de donner et aussi de recevoir.

    Innovation cette année, un vide jardin (outils, décoration, mobilier de jardin) à l’exclusion des plantes étant déjà présentes chez les pépiniéristes et à la bourse.

    Renseignements  vide jardin : 06 45 51 67 11

     14 OCTOBRE 2018 - L'AUTOMNE AU JARDIN - LANMODEZChacun pourra également acheter des produits aux Artisans dans la salle et des plants aux pépiniéristes professionnels sur la place.

     14 OCTOBRE 2018 - L'AUTOMNE AU JARDIN - LANMODEZ

     

     

     

     

    Les Abeilles, ces auxiliaires du jardinier seront représentées par un apiculteur.

     14 OCTOBRE 2018 - L'AUTOMNE AU JARDIN - LANMODEZ

     

     

     

     

     

    Les Enfants des écoles de Lanmodez et de Pleumeur-Gautier nous feront admirer leurs dessins sur le thème du " Jardin" .

     14 OCTOBRE 2018 - L'AUTOMNE AU JARDIN - LANMODEZ

    Les poneys aussi seront là et les enfants pourront faire gracieusement des tours pour leur plus grand bonheur.

    Une bibliothèque d’ouvrages sur le Jardin  présentée par la Librairie Bouquine de Pleubian permettra à chacun de découvrir des variétés de plantes et des techniques de mises en valeur des plantations et de leurs couleurs, et de commander les ouvrages consultés 

    Bienvenue  à toutes les Jardinières et à tous les Jardiniers qui viendront participer à la bourse d'échange

    Animations diverses, musique, jeux et tombolas agrémenteront la journée. 14 OCTOBRE 2018 - L'AUTOMNE AU JARDIN - LANMODEZ

    Le café-épicerie "Le Relais de Lanmodez" proposera la restauration.

     


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  • Samedi 27 octobre 2018, à Lanleff

    Bleu & Sentimental à l’Arbre à Lyre

    Samedi 27 octobre 2018, à Lanleff

    Notre ami « crooner » et saxophoniste Christian Alexandre, associé au pianiste Philippe Pénicaud, va se produire en concert ce samedi 27 octobre 2018 à l’Arbre à Lyre en Lanleff (20h30).Bleu & Sentimental est dédié à l'amour des belles mélodies et des beaux textes des années Yéyé. Ce sont bien sûr des histoires d’amour, souvent très tendres, mais pas toujours et « fleur bleue » ... en général...

    Par la chaleur de sa voix de crooner, Christian Alexandre nous fait partager ces grands moments de la poésie amoureuse des années 60-70 (Henri Salvador, Serge Gainsbourg, Johnny Hallyday, Claude François…), mais aussi quelques compositions personnelles.

    Les deux compères, qui se produisent dans plusieurs formations de jazz de la région, donnent des couleurs jazzy et bossa nova à leur répertoire. Pierre Bouteiller, chroniquant son CD Je rêve à toi … et autres chansons d'amour, disait à l'antenne de TSF Jazz : "… si Henri Salvador et Sacha Distel avaient un fils, ce pourrait être Christian Alexandre." La bossa bleue

    Comme à l'accoutumée, un chapeau circulera et une "auberge espagnole" clôturera la soirée.

     Pour réserver pour ce concert (places limitées) et/ou être informé des événements qui ont lieu à l'Arbre Lyre à Lanleff :

    Samedi 27 octobre 2018, à Lanleff

    jeanmariephilippart4@gmail.com


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  • Pollinisation : ne tournons plus autour du pot ! 

    Une nouvelle Causerie « dans l’air du temps » ?
    En ouvrant à son tour, le vendredi 28 septembre, le dossier de la mortalité des abeilles, Le Papillon de la Presqu’île, associé pour la circonstance avec l’association J’accueille la nature, a montré, une nouvelle fois, son extrême sensibilité aux questions se rapportant à la défense de l’environnement. On ne peut regretter que la tenue de cette Causerie n’ait pu réunir qu’une trentaine de personnes dans la salle intercommunautaire de Kerantour, à Pleudaniel. Car il ne s’agissait pas seulement d’une simple redite, d’un discours redondant, mais bien d’administrer une « piqûre de rappel » fortement dosée. On aurait souhaité refuser des auditeurs tant le sujet nous semble d’importance pour la sûreté alimentaire de l’humanité.

    L’objectif de cette Causerie était de nous faire prendre conscience qu’au-delà des abeilles dites domestiques, c’est le monde des insectes dans sa grande diversité qui est menacé. Les abeilles de nos ruches ne sont que la partie visible d’un phénomène beaucoup plus large. On dénombre quelque 20000 espèces d’abeilles sauvages dans le monde (dont un millier en France). Roland Cuvier Or, comme le fera remarquer, en préambule, Roland Cuvier, le président du Papillon de la Presqu’île, les plantes à fleurs et les pollinisateurs co-évoluent depuis 60 millions d’années et le processus de la biodiversité se fracture depuis moins d’un siècle .Nous devons en craindre les conséquences pour nous-mêmes.

    Vendredi 28 septembre 2018, « Causerie » à Pleudaniel Aux côtés de Roland Cuvier, François Le Dudal, apiculteur professionnel à Cohiniac, dans les Côtes d’Armor, et Gilles Le Roux, apiculteur de loisir membre du Groupement de Défense Sanitaire des Abeilles d’Ille & Vilaine. Celui-ci opère au coeur même de la ville de Rennes. Si le problème de la survie des abeilles n’était pas aussi inquiétant, nous pourrions nous amuser ici à concocter une fable de l’abeille des villes et l’abeille des champs. Le bon Monsieur de La Fontaine ne nous tiendrait pas rigueur. Même Voltaire apprécierait de nous voir plagier son fameux poème Jean qui rit, Jean qui pleure.

    Pourquoi une telle digression ? L’effet contrasté et apparemment paradoxal entre les deux interventions.
    Alors que François Le Dudal se trouve confronté à un effondrement de ses colonies, Gille Le Roux tire profit d’un phénomène pour le moins surprenant, du moins pour les non connaisseurs : l’attirance que les abeilles ont pour la ville.

    Mais il nous fallait raison garder. Entre la ville et le champ, on ne travaille pas sur la même échelle, mais la problématique reste la même. Là où le passionné va installer cinq à six ruches dans son jardin, pour son propre plaisir et celui du partage du fruit avec des amis, le professionnel qui veut vivre de son métier doit travailler avec quelques centaines de colonies. « J’ai perdu 80 % de ma récolte cette année. Les années précédentes nous n’en étions encore qu’à 30% ». Sur les 354 ruches qu’il a mises en place, 69 seulement ont fonctionné. Un cas isolé ? Non !

    François Le Dudal s’est fait ici le porte-parole d’une profession en plein désarroi. Son compère d’un soir a lui aussi mis l’accent sur cette perspective d’un monde sinistré, c’est-à-dire ne bénéficiant plus assez de la force de travail de ce microcosme du butinage. L’abeille des villes et l’abeille des champs sont sur le même bateau. Un bateau qui ne s’appelle pas encore Arche de Noé. Mais pour combien de temps encore?

    Vendredi 28 septembre 2018, « Causerie » à Pleudaniel

    Ne tournons plus autour du pot ! Nous sommes, comme le soulignera avec force Roland Cuvier, à l’heure des choix. Pour les trois conférenciers, il n’était point question de cibler cette autre profession qui travaille, elle aussi, sur «le vivant». Ils veulent croire que la prise de conscience du monde agricole, dont on ne peut nier la réalité, va s’accroître rapidement. L’agriculture et les insectes s’échangent les services. Les abeilles, les bourdons, les papillons butinent le pollen et le nectar. De nombreuses cultures ont besoin d’eux pour leur pollinisation.

    Non sans prendre en compte l’importance du volet économique et les difficultés que génère un changement d’amure des pratiques dans l’usage des produits phytosanitaires, ils n’en fustigent pas moins le politique qui semble encore englué dans les préoccupations du court terme, en n’osant pas décider pour le long terme. La Politique agricole commune (PAC), dont le budget pour la France s’élèvera, pour les 7 ans à venir, à 50 milliards d’euros, soit environ 7 milliards par an, pourrait s’avérer être un outil non négligeable. Les apiculteurs dénoncent surtout le poids des lobbys qui se retranchent derrière « la charge de la preuve » pour dénier à quiconque le droit d’affirmer que les pesticides et autres insecticides sont à la source de la mortalité de la gente ailée.

    Un chimiste japonais (Eijiro Miyako) vient de mettre au point un robot-insecte, un mini-drone susceptible de prendre la relève des pollinisateurs naturels. Ce petit robot pollinisateur télécommandé, muni de quatre hélices, est recouvert de trois millions de poils de cheval enduits d’un gel ionique, c'est-à-dire électriquement chargé, capture le pollen sur une fleur avant d’aller le déposer sur les pistils d’une autre. Mais combien de robots sur pile faudra-t-il fabriquer pour assurer une productivité équivalente à celle de ces stakhanovistes du butinage. Pour faire un pot de miel, les abeilles d’une ruche parcourent quelque 400000 km.

    Là encore, il ne s’agit pas de nier les avantages que peut et va avoir la robotique dans l’agriculture comme dans tant d’autres domaines, mais il est déprimant de constater qu’une partie des scientifiques semble avoir acté l’inéluctable disparition des pollinisateurs. Touchant au vivant, on est en droit de s’interroger sur les conséquences de cet épanchement du robot pour les corolles des fleurs. Au carrefour des ADN, on prend, à coup sûr, le risque de choisir l’impasse. Nous avons encore la possibilité de repenser, mais sans plus tarder, le modèle agricole qui assurera notre futur.

     


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